Un reportage de TF1 le 12 avril
La direction de la Poste a la plus grande difficulté à "éteindre" l'incendie médiatique que son obstination à nier l'évidence a allumé !
Pas un jour sans qu'un article de presse, un reportage enfonce, encore un peu plus, le clou.
Et les cadres, longtemps baillonnés, parlent, parlent...
Encore un reportage qui accable La Poste...
L'émission Capital sur M6 n'est pas réputée pour être très favorable aux thèses opposées au libéralisme. Pour autant, elle a retransmis assez justement ce que nos patrons veulent faire de notre entreprise.
En particulier bien décrit, la souffrance au travail ou les heures sup. non payées...
Comme le fonctionnement d'une APC.
Tournées à découvert... à gogo
Cet été, dans la Loire, la Poste ne garantit plus la distribution du courrier tous les jours. Les élus et les usagers de plusieurs communes sont furieux.
La méthode lyonnaise
"L'humain doit être remis au centre des préoccupations des managers lors des réorganisations"...
Un exemple (édifiant) avec le bureau de Lyon 09...
Après CANAL+, au tour de France 2
Après le 1er reportage diffusé sur CANAL+ et quelques reportages locaux, les langues continuent à se délier. Et les grandes chaines commencent à diffuser et à raconter ce qui se passe dans notre belle entreprise.
La direction de la Poste rencontre les plus grandes difficultés à "contre-communiquer" et ce n'est pas en sortant de son chapeau une caricature de postier "super bien dans sa peau" ou en interwievant une responsable nationale qui trouve que : "La Poste est super à l'écoute" de ses personnels que les téléspectateurs en sortent convaincus.
Voici le reportage de France 2...
Souffrance à tous les étages...
Le reportage de CANAL+ diffusée en janvier dernier a vite fait le tour des sites de vidéos et on comprend pourquoi. Le constat est accablant.
Toutes les catégories de personnel sont touchées : facteur, guichetier, commercial, cadre...
La direction de La Poste aura du mal à nier l'évidence et à cacher les conséquences de sa politique de rentabilité "à marche forcée" aux yeux du plus grand nombre.